Posted in De bonne heure et de bonne humeur
34 juin
Alors d’accord, il fait chaud.
Le soleil qui cogne, les sandales dans l’herbe grillée, le cliquetement du vélo sur l’asphalte en passant devant le parking bondé de la piscine, oui, d’accord, c’est l’été.
Le mois de juillet, c’est mine de rien la moitié de l’année. La personne synesthète que je suis vous confirme que dans mon calendrier mental, le mois de juillet est au sommet de la descente vers le mois de décembre (enfin juillet et août sont aussi dans un creux, parce que je fais mes cartes mentales en 3D).
Le problème, c’est que je ne suis pas du tout prête à faire le constat de mi-chemin. Pour le moment, 2011 me semble donner d’une main ce qu’elle récupère de l’autre, et c’est horripilant. A l’heure où je vous écris, nous sommes à un coup de téléphone de savoir la direction que prendra le reste de l’année. Et quand on sait (comme moi) qu’elle est cette probable direction, je vous assure qu’il y a de quoi se taper les cuisses en rigolant bien fort (faites-moi confiance).
En attendant, donc, il fait chaud, et nous resterons au mois de juin.
Un message un peu moins sybillin :
Dans le cadre de la saison 2 du challenge Daphné du Maurier qu’a brièvement évoqué Océane ici puis sur son blog, j’aimerai vous informer que j’ai lu : Ma cousine Rachel, Mad, Le général du roi, les Oiseaux, que je suis en train de lire Le monde infernal de Branwell Brontë et Le bouc émissaire, et aussi que j’ai vu l’adaptation cinématographique de l’Auberge de la Jamaïque d’Hitchcock. (mais que croyiez-vous que je faisais pendant tout ce temps ?).
Donc, à venir, de la critique littéraire. Youpi.