Le Tigre

10 mars 2010 - 9:48

Ce post est un post du mécontement.


Le groupe à un tube du jour :

Survivor – Eye of the Tiger



Rocky, tout ça.


Mon 45 tours de Eye of the Tiger est fendu.
Il ne l’était pas quand je l’ai acheté, il ne l’était pas la dernière fois que je l’ai écouté.


Colère.


Enfin heureusement, c’est pas le plus difficile à trouver.

Protégé : La vie comme elle va

1 février 2010 - 15:00

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Protégé : 2010 : un deuxième bilan s’impose

9 janvier 2010 - 20:02

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Et si on parlait cinéma

5 décembre 2009 - 21:04

Ce qu’il y a de bien avec le cinéma des années 80, c’est qu’on a maintenant assez de recul pour pouvoir parler des films commerciaux grand public comme des chef-d’oeuvres du cinéma.


Il y a un mois, j’ai vu « SOS Fantômes » à la Cinémathèque Française.
Le film était précédé d’une introduction comparant le film à ceux des Marx Brothers et ceux de Laurel et Hardy.


Cette semaine, j’ai revu “WarGames“.



1. Au début de WarGames, on apprend que 22% des officiers américains ne sont pas prêts à balancer une bombe atomique juste parce qu’on leur dit de le faire. Les 22% d’officiers en question passent leurs samedis soirs à comparer l’afghane et la marocaine pour savoir laquelle fait le plus planer.
C’est un peu rassurant sur l’armée américaine.


2. Comme cette attitude ne plaît pas trop en haut-lieu, le pentagone décide de prendre une décision radicale : « to take the human out of the loop », à savoir virer tous les sous-officiers qui fument le samedi soir, et les remplacer par un ordinateur qui n’a pas de morale (ni les neurones embrumés par les excès dudit samedi).
A ce moment-là, on entre de plein-pied dans le cinéma de Kubrick, ce grand parano devant l’éternel dont les films reposent sur cette notion « d’erreur dans le système ».


On se demande si le docteur Folamour ne va pas entrer dans la pièce sur son fauteuil roulant et avec son bras raide et dressé pour s’installer autour de cette table.

Le système WOPR est donc mis en place, et pourtant, comme on le verra plus tard, c’est bien l’humain, sous la forme du jeune David Lightman, qui va mettre la pagaille sans le faire exprès.

(to be continued)


Le groupe à un tube du jour

ChumbawambaTubthumbing
(attention le chanteur fait un petit peu peur quand même).





Chumbawamba a sorti une tripotée d’albums, dont seule chanson Tubthumbing s’est  imposée au grand public ( une sombre histoire de jeux vidéo et de coupe de monde. ) Tous ceux qui pourraient éventuellement apprécier les autres albums les détestent d’office à cause de tubthumbing.
C’est tout de même pas de chance.


La grippe A/h1n1 nous changera-t-elle tous en zombies ? (part 2)

26 novembre 2009 - 21:56

Depuis quelques semaines, je m’étonnais de l’importance prise dans mes statistiques par les recherches mêlant « Grippe A » et « Zombies », dans certains cas avec une orthographe plus que douteuse.

 

J’ai pensé un instant avoir fait des petits avec mes rêves bizarres, et puis quand j’ai vu que personne ne daignait s’intéresser à ce film essentiel qu’est « Villemolle 81 », ni même lire quoi que ce soit de mon blog, j’ai enquêté.

 

Et j’ai trouvé.

 

Ami internaute, tu peux rester sur cette page, car voici ton graal :


Mozinor – La grippe mexicaine.

 

 

 

 

Et si tu as un semblant de jugeotte, tu peux aussi aller visionner le teaser de « Villemolle 81 ».

 

 

Le groupe à un tube du jour

 

Le groupe à un tube du jour vient de me tomber dessus :

 

Harvey Danger – Flagpolle Sitta


 

1999, Seattle, c’est peut-être un peu flou, mais si vous êtes un tant soit peu branché internet, alors vous savez ce qu’est un lip dub.

 

Dans ce cas, souvenez-vous, Harvey Danger, vous les avez déjà entendus dans le premier lip dub de l’histoire du web :

 

Lip Dub – Flagpole Sitta from Connected Ventures (HD)
par allcurious

 

 

Et si vous ne saviez pas ce qu’est un lip dub, vous avez maintenant un commencement de réponse.

 

 

Sur ce, je vous laisse, la prochaine fois, j’aurai résolu les problèmes de demi-escalier de Vinsh, ce qui me donnera l’occasion de vous parler de son dixième d’ascenseur.

Il faut bien l’avouer, j’ai copié.

18 novembre 2009 - 21:46

Titiou Lecoq, je l’ai pas mise dans mes liens à cause d’un mauvais concours de circonstances.

Elle fait pourtant partie des quelques blogueuses que je suis de loin.

La première fois que j’ai lu quelque chose d’elle, c’était dans Brain, c’était le portrait d’une génération (la mienne) et c’était rudement bien foutu.

 

Je vous en parle, parce qu’elle a remis ça dans Slate mercredi dernier, et que son article vaut la peine d’être lu.

Parce que oui, c’est nous, là, la génération un peu molle, en gris chiné qui demande juste à pas être remarquée. Nous qui écoutions Kurt Cobain quand il était encore en vie (c’est d’ailleurs pas pour rien qu’il illustre son billet). C’est nous qui (et c’est ce qui manque dans l’article de Slate par rapport à celui de Brain) n’avions juste pas, dans les années 90, les moyens de nous exprimer comme nous l’aurions souhaité : internet n’existait pas encore (je me demande ce qu’aurait été mon adolescence avec internet ; probablement bien différente). Ce portrait, c’est juste exactement nous.

 

Alors je pourrais vous parler uniquement de la génération 90 (remember Wynona Rider et Ethan Hawkes), mais si je vous parle de Titiou, c’est parce que je suis bien obligée de reprendre la structure de son dernier billet.

 

Oui, moi aussi j’ai pris un coup quand j’ai appris la disparition de Jocelyn Quivrin.

Le paradoxe, dans cette histoire, c’est que je n’en avais jamais parlé avant. J’imagine qu’il y a prescription à présent.


A l’âge glorieux de 12 ans, j’étais amoureuse de Jocelyn Quivrin, que j’avais vu dans “Louis, enfant roi ” de Roger Planchon (syndrome de première de la classe, que je n’étais pourtant presque pas, combiné au syndrome fille de prof d’histoire). J’étais amoureuse comme on l’est à cet âge, je m’imaginais qu’il viendrait un jour me chercher au collège et que ça me rapporterait l’admiration de mes condisciples, pour une fois.

A cette époque, il n’y avait pas internet, alors je n’avais pas beaucoup d’autres informations, mais je suis restée un certain temps sur cette idée, jusqu’à ce que je tombe amoureuse d’un pseudo poète torturé d’un an plus âgé que moi qui portait le catogan et des vêtements noirs .

En 2000, j’ai vu “Rastignac”, je me suis souvenue, et j’ai souri sur moi-même avec indulgence. Depuis, je suivais de loin ses apparitions, mais je n’avais même jamais poussé jusqu’à chercher son nom dans wikipédia.

 

Alors oui, c’est une nouvelle qui me touche, et qui n’est pas sans rapport avec le début de ce post, parce que Jocelyn était de 1979. Lui aussi, comme Titiou, comme moi, il a fait partie de cette génération un peu molle, en gris chiné, qui a écouté Nirvana du vivant de Kurt Cobain.

Jocelyn Quivrin était un des nôtres, et c’est pas encore si souvent qu’on en voit s’en aller.

 

Le groupe à un tube

Le groupe à un tube du jour m’a été soufflé par l’ami Vinsh.

Crash Test Dummies – Mmm mmm mmm (je ne suis pas sûre à 100% de l’orthographe exacte du titre de la chanson).

 

 

(J’ai mis du live mais vous pouvez voir le clip sur Youtube)

Voici qui nous donne l’occasion de parler de Winnipeg, Manitoba, Canada, dont le groupe est originaire. Le tube en question est issu du deuxième album du groupe, sorti en 1993. Les Crash Test Dummies ont depuis sorti trois albums, dont Wikipédia nous informe qu’ils ont connu « un succès plus confidentiel ».

Non sans blague.

 

A noter que parmi les membres de ce groupe néanmoins de bonne facture, on retrouve Son of Dave, que j’ai vu sur la La Valette Stage lors de la première édition de la (R.I.P.) Garden Nef Party à Angoulême. Tout seul sur scène, il nous a fait vibrer deux fois de suite entre les groupes de la Main Stage.

Un peu comme sur la vidéo, mais avec plus de vin blanc :)

 

En bonus :

 

Son of Dave – Devil takes my soul

 

 

Sur ce, je vous laisse, la prochaine fois, j’aurais demandé à Titiou combien de fois elle a regardé “Le cercle des poètes disparus” dans les années 1990, ou alors, je vous parlerai de Jo, Zette et Jocko, cette magnifique série moins connue d’Hergé, ce qui nous permettra de replacer le mot Manitoba dans la conversation.

La suite, quoi.

10 novembre 2009 - 15:12

En l’an 2000, pour un devoir d’économie, j’ai épluché tous les magazines « Capital » des deux années précédentes. A l’époque, Internet devenait grand public, tout le monde se mettait à construire des sites et des portails à tord et à travers, parce que soyons honnête, internet restait pour la plupart des investisseurs un univers mystérieux et incompréhensible. (Pendant ce temps-là, le professeur de design graphique de Dirk enseignait qu’internet ça n’allait pas durer, alors que c’était vraiment pas la peine qu’ils s’ennuient à apprendre les codes HTML et consorts).


Dans Capital, en 1998, les premiers cadres étaient débauchés par les starts-up. Ils posent alors heureux, souriants et cravate négligemment desserrées, pour expliquer, que oui, ils gagnaient vraiment bien plus d’argent dans leur start-up, qu’ils faisaient des profits formidables, et en plus, ils rentraient chez eux bien plus tôt le soir, et qu’ils avaient vraiment le temps de profiter de leurs enfants le week-end dans leur nouvelle piscine (la piscine, signe extérieur de richesse).


Un peu après, ce sont les employés qui ont commencé à témoigner. Des jeunes. Qui se sont retrouvé propulsé à des postes à responsabilité dès la sortie de l’école, voire même sans y être passé. Qui explique que bosser dans une start-up c’est trop cool, on vient fringué comme on veut, en skate, en rollers, que l’ambiance est trop mortelle avec les collègues, il y a même un juke-box, un baby-foot et une mini-table de ping-pong au boulot. Trop mortel.


Après, il y a la vie qui se met en place autour de ça, les apéros du jeudi soir où on va avec son CV pour se faire recruter, le petit bistrot du quartier qui vivotait avant de se retrouver en plein coeur du quartier des start-ups parisiennes, et qui devient subitement un endroit hype : «ici ça n’a pas changé, on reste un petit bistrot de quartier, mais on est comme une grande famille, vous savez » nous disait la tenancière.


Finalement, ça commence à ne plus aller si bien que ça. Les premiers cadres commencent à quitter le navire et à retourner vers des entreprises plus traditionnelles. «Il y a trop de monde sur le marché, les investisseurs deviennent suspicieux, les gens vendent n’importe quoi, sans se préoccuper de savoir si leur site a un débouché. » Ils commencent aussi à balancer, non ce n’est pas aussi cool que ça, oui on bosse tard le soir et même le week-end.


Et puis tout sombre dans les ténèbres, internet passe du côté obscur de la force, et les derniers rescapés, les jeunes trop cools à des postes à responsabilités sont sous antidépresseurs, et avouent que non, avoir un baby-foot au boulot c’est pas cool si on n’a pas le temps de s’en servir, que le juke-box en fait s’était un faux, et qu’ils étaient payé une misère pour bosser 60 heures par semaine, en attendant « d’avoir vendu le projet », et qu’en plus ils n’avaient pas tant de responsabilités que ça. Quand au bistrot du coin, lui, personne ne sait vraiment ce qu’il est devenu. Un bistrot de quartier, probablement.

  

Le groupe à un tube du jour


Souvenez-vous, été 1996, des paroles entêtantes, un groupe qui nous vient d’Allemagne.
Fool’s Garden – Lemon tree


 


Je me suis dit que cette chanson, un peu comme Brown Sugar des Stones ou Golden Brown des Stranglers (je vous ai mis du live) devait avoir un sens caché. 

En fait, il semblerait que ça parle de filles, mais c’est pas forcément plus gai.


Sur ce je vous laisse, j’ai encore du ménage à faire avant d’aller chercher les enfants à l’école (mais pas les miens, quand même).

Présentation du projet

6 novembre 2009 - 17:31

Si jamais un jour, à un moment ou à un autre, je dois rédiger un mémoire de maîtrise de Master 1 ou de DEA Master 2 recherches (et ce jour-là arrivera, croyez-moi), j’espère que le sujet sera un des suivants :


1/ Les archétypes des personnages centraux dans la littérature enfantine

 

Si vous avez lu Les 4 As, Quentin Gentil, Les six compagnons, le club des cinq, et tous ces classiques de la littérature francophone (sauf le club des cinq, OK) des 8 – 12, vous savez que ces bandes d’amis qui vivent quotidiennement l’aventure et me faisaient rêver des après-midis entières, vous savez qu’à peu de choses près, on retrouve systématiquement :

  • Un leader charismatique

  • Un scientifique : avant il construisait des maquettes, réparait les voitures et les solex, et puis il s’est mis à toucher sa bille en informatique. Signe distinctif : il porte des lunettes.

  • Une fille : Plus ou moins nunuche suivant les séries, dans tous les cas elle a un statut à part, elle reste en arrière, et éventuellement, elle pleure. Parfois, entre le leader charismatique et elle, il existe un lien affectif plus ou moins suggéré (on s’adresse, à des enfants, on écrit encore dans les années 50).

  • Un gros : il est gros, parce qu’il mange beaucoup, parce qu’il a tout le temps faim. Il fait aussi très bien la cuisine, c’est lui le cuisinier du groupe.

La question est : pourquoi ? Personnages récurrents dans toute la littérature occidentale (Naruto, lui, est est le leader charismatique ET gourmand, Sakura est quand même sacrément nunuche) ?

 


2/ Le geek : évolution de la perception dans les représentations destinées à la jeunesse.

 

On prend le point 2 de la liste précédente, mais cette fois-ci, on ouvre le corpus aux séries télévisées.

Et on se rend compte que ce personnage passe de l’asocial aux lunettes à effet loupe…

 

 

Ici Doct à gauche de limage

Ici Doct à gauche de l'image


 

ou  ça :

 

Jerry Steiner dans Parker Lewis ne perd jamais

Jerry Steiner dans "Parker Lewis ne perd jamais"



à une fille.

À tendance gothique mais sexy, de préférence.

 

Mac, dans la série Veronica Mars

Mac, dans la série "Veronica Mars"


ou

Abby, dans la série que jai vu samedi soir, NCIS (on note comment la blouse blanche (la science) et le collier de chien (le gothique) caractérise à merveille le personnage.

Abby, dans la série que j'ai vu samedi soir, NCIS (on note comment la blouse blanche (la science) et le collier de chien (le gothique) caractérise à merveille le personnage.

 

(to be continued)

Hello Holo Halloween

31 octobre 2009 - 12:11

Aujourd’hui, ca va se passer comme ça :

 

Une fois que j’aurai fini ce post, j’irai faire un saut au marché pour m’acheter des pommes de terres, des patates douces, du potiron et ce que je trouverai pour avoir chaud en mangeant cette semaine.

 

Ensuite, je commencerai à râper les carottes pour faire non pas un, mais deux gâteaux à la carotte pour ce soir.

 

Pendant que le premier gâteau sera en train de cuire, je regarderai un peu mieux comment est fait le maquillage d’Heath Ledger dans le dernier Batman, puisque c’est finalement comme ça que je vais me déguiser ce soir.

 

 

 

(J’avais aussi envisagé la reine de coeur d’Alice au pays des merveilles, mais je ne suis pas sûre qu’on me reconnaisse, et les gens chez qui je vais fêter Halloween ne sont pas prêt pour le Doppler Effect de Sheldon Cooper) (mais je le ferai un jour celui-là).

 

 

Pendant que le deuxième gâteau à la carotte sera en train de cuire, je chercherai un moyen de me pourrir les cheveux autant qu’Heath Ledger, et puis dès que Dirk sera revenu du boulot, on se déguisera, on se maquillera, on étalera le glaçage des gâteaux à la carotte et on ira boire et danser.

 

Et pour une fois cette semaine, j’aurai passé une bonne journée.

 

 

Le groupe à un tube du jour :

 

Orchestral Manoeuvres in the dark – Enola Gay

Le groupe à un tube du jour n’est pas vraiment un groupe à un seul tube, puisqu’en dehors de cette chanson, il a tout de même rencontré un certain succès dans les années 80.

Mais le fait est que cette chanson est restée emblématique de cette période, et quand tu la passes en soirée, il y en a toujours un pour dire que c’est Depeche Mode et un autre pour répondre que non, c’est The Cure.

Donc notez une bonne fois pour toute : Orchestral Manoeuvre in the Dark. – Enola gay.

 

 

Sinon la prochaine fois, je saurai si Pénélope Bagieu et Elixie ont suivi mes bons conseils en matière de déguisement de Halloween à Portland, Oregon, j’aurai réservé mes billets de trains pour Paris et Vinsh m’aura foutu un grand coup de pieds dans le cul pour que je termine son design. (Désolée, mais après en avoir longuement parlé avec Dirk, je crois qu’il va falloir qu’on revoit les couleurs).

Aujourd’hui, c’est culte.

23 octobre 2009 - 23:48

Comme mon ami Vinsh me traite de feignasse, et histoire de m’accorder une pause entre deux balises HTML que je bricole pour son site depuis 11h ce matin, je profite de cet instant pour vous faire parvenir plusieurs choses qui me tiennent à coeur et que vous n’attendiez plus.


1/ La meilleure pochette de vinyle de l’année 1969

Et pourtant, dieu sait que cette année fut faste.

herbpourbllog
(Ici magnifiquement mise en scène)

 

Oui, cette jeune femme pose entièrement recouverte de crème chantilly (mais nue sous la crème chantilly) pour l’album “Whipped cream and other delights” de Herb Alpert, lequel Herb Albert nous a fourni quelques autres pochettes d’albums ( et d’albums tout court) non dénuées d’intérêt (principalement à base de poulettes et de trompettes), avant de s’en aller produire Janet Jackson et de finir par financer les Yes Men.


Un homme absolument délicieux, vraiment.


2/Le retour du groupe à un tube.

Ah tu croyais que je l’avais oublié, celui-là.


Le groupe d’aujourd’hui est qualifié d’éphèmère par wikipédia, ce qui prouve bien qu’il s’agit d’un groupe à UN tube (mais alors qu’un seul, hein).


Constitué en 1977 dans le but de faire un hit de la reprise d’un vieux morceau, le groupe a bel bien repris le vieux morceau et en a fait un hit. Après, ils ont fait un album best-of, probablement composé, sur la face A, de Black Betty, et sur la face B, de la version instrumentale de Black Betty.

Classe.


Sur ce, je vous laisse, la prochaine fois, on parlera peut-être de Six Pence None the Richer pour faire plaisir à Vinsh (quoique non, je lui fais déjà suffisamment plaisir cette semaine), et surtout, telle Rousseau (le philosophe des Lumières, pas le douanier), je vous expliquerai comment bien élever vos enfants sans en avoir jamais approché un seul.