Septembre en attendant

J’aimerai bien pouvoir vous écrire un post sympa, drôle, pétillant sur mes aventures du moment. Comment quatre filles qui ne connaissent ni d’Eve ni des dents en arrivent à parler hénné, color pulse et pigments sur des cheveux bruns moins de quatre minutes après s’être rencontrées pour la première fois. (Mardi soir, cours de danse).

Comment les Boxers de Bordeaux en ont pris plein la gueule les deux premiers tiers temps du match de samedi dernier, avant de finalement prendre le dessus sur les Phoenix de Reims (on parle hockey sur glace, là.) (samedi en fin d’après-midi, patinoire de Bordeaux)

Pourquoi Andorre-la-vieille serait bien placée si jamais on décernait un prix aux villes les plus laides du monde, et surtout pourquoi la racaille locale a le sens de l’humour. (Vacances de début septembre)

Comment je me suis peinturluré les ongles en gris (Mavala Minsk), et j’ai découvert que je valais bien une blogueuse mode en terme de pose (enfin surtout à la base de l’ongle, là où c’est difficile, vous savez ?) (la semaine dernière) (Je vous laisse retrouver la photo à laquelle je fais référence)

Je pourrais également profiter de l’actualité (Georges Charpak vs Tony Curtis) pour vous exposer la théorie des deux morts. A une époque, j’avais des théories sur tout et surtout sur rien, je passais des heures à élaborer et c’est même ce genre de pensées qui m’ont value ma première (et probablement dernière) publication sur du papier glacé à deux euros le magazine.

Enfin, je pourrais rendre ici hommage à Camille, dont la qualité du blog n’a d’égal que la gentillesse de ses twitts (surtout les jours de déprime), et donc de parler d’héroïnes austeniennes, expliquer pourquoi jusqu’à présent, ma préférée c’est Catherine Morland justement parce que ce n’est pas une héroïne (et la plus chiante de loin Fanny Price qui passe son temps à chouiner dans son coin) (je précise que j’ai pas fini Mansfield Park, et que j’ai pas lu Persuasion).
(Nota : pour en lire plus sur les adaptations des romans austeniens, merci de cliquer ici).
Mais bon, je sais pas si c’est le froid qui arrive (j’ai dû abandonner mes sandalettes, pour remettre mes vieilles converses, et entamer le marathon de la recherche de la grole hivernale), ou la déprime du Pôle Emploi, mais là j’ai pas trop la frite, alors on se retrouve une autre fois pour un post plus drôle, d’accord ?