J’aime pas les liveblogging

Je ne vais recommencer avec le liveblogging, tout le monde sait ce que j’en pense, je ne remercie donc pas Slate d’avoir pourri ma time-line twitter hier soir (d’où savez-vous que vos followers ont envie de vous lire faire les mêmes commentaires que leurs potes ?).

A la limite, sur un article dédié, pourquoi pas. Là, je me tâte à les dé-follow-er.

Moi aussi, j’ai aperçu les césars du coin de l’oeil avec des potes, nous aussi on a fait des blagues, c’est pas pour autant qu’on estime qu’elles sont dignes d’être lues par la planète entière.
Entre nous, ça nous suffit.

Live-blogging de ma soirée :
21h12 (non j’en sais rien en fait, c’était en début de soirée) : une petite fille de 15 mois a estimé pertinent de renverser le Cosmo de sa mère sur mes bottes, je ne sais pas quel message elle voulait me faire passer, peut-être me convaincre que non, ces bottes ne pourraient pas faire un hiver de plus, ou alors en secours. Même pas un an et demi et déjà Carrie Bradshaw dans l’âme.

Sinon, je vous promets, j’ai bientôt fini un vrai post fashion, ça fait une semaine que je rame dessus, il va y avoir de la vidéo, des images, et du teen monster.

C’était un post pour ne rien dire.
Un peu comme le liveblogging, en fait.

J’édite : Juste après avoir publié ce post, je suis allée sur le blog hype du moment, c’est la gêne. Je me doutais un peu qu’il y aurait un compte -rendu en live des Césars, ils l’ont fait pour les Golden Globes, y’a pas de raison.

J’ai lu les dix premières lignes, et résultat ? : ils ont écrit exactement la même chose que ce qu’on a dit pendant les premières minutes de la retransmission. Quasiment mots pour mots.

aka : devant ce genre de cérémonie, tout le monde pense être intéressant, drôle et pertinent, mais non, on est tous conditionnés par les mêmes gags, les mêmes humoristes et les mêmes magazines, donc on y voit tous exactement la même chose.

Quand je vous que ça sert à rien, le liveblog.