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7 juillet 2011 - 14:42
Oyez oyez, braves gens,
Alors que mon avenir professionnel s’assombrit, j’ai décidé d’aller fêter mon anniversaire (dimanche) en partant camper là :

C'est l'Ile d'Oléron
(non je n’ai pas 16 ans).
Samedi :

Un temps resplendissant
Dimanche :

Adieu débardeurs, maillots et sandales
(courtesy of Météo France)
C’est un fait avéré depuis des années, le 10 juillet, il fait moche, ma mère vous racontera comment le jour de ma naissance, il faisait tellement froid, que la maternité a rallumé le chauffage pour nous autres, les nouveaux nés du début juillet.
Voilà, sinon si vous cherchez plus bas, j’ai republié mon article du lundi de Pâques parce que je le trouve rigolo.
A+, les minus.
3 juillet 2010 - 13:28
A/ L’épineux problème de la date
Comme j’ai eu la bonne idée de naître un jeudi de juillet 1980, mon anniversaire tombe un samedi cette année. Au début ça paraît cool, jusqu’au moment où vos amis vous annoncent fièrement que c’est le jour de leur mariage. A ce moment-là, il ne reste plus qu’à cocher la case dommage, et à se chercher une autre date. Le week-end d’avant, je suis d’anniversaire de trente ans (date réelle d’anniversaire : 12 juin), tout comme le week-end d’après (date réelle d’anniversaire : 29 mai).
A partir de là, les portes sont ouvertes à toutes les fenêtres, et je ne vois pas bien pourquoi je ne calerai pas moi non plus mon anniversaire genre le 21 août. (Sauf que je suis de trente ans également à cette date-là) (date réelle d’anniversaire : 17 août, j’ai des amis qui savent encore respecter certaines choses).
Comme je n’envisage pas de caler mon anniversaire un vendredi (surtout avec un autre anniversaire le lendemain), ni le 13 juillet, et en comptant les vacances, il me reste une fenêtre sur la première quinzaine d’août.
En plein pendant les vacances me direz-vous, je répondrai, j’ai l’habitude, mais ça permet à ceux qui ne sont pas du coin de venir plus facilement, c’est donc quelque part, c’est pas plus mal.
B/ La persistante question du lieu.
Nous avons vu dans les cas étudiés précédemment une succession de lieux (de la terrase de café jusqu’au salon parental.) et comment ces choix ont orienté la soirée. Le lieu sélectionné doit pouvoir contenir les invités, tout en donnant une atmosphère au bidule.
De nouveau, naître en été semble être à priori un avantage puisqu’un combo barbecue/pique-nique est tout de suite évoqué.
Oui, mais si il pleut ?
Parce que ça arrive souvent, figurez-vous.
Comme mon appartement ne me permet pas d’organiser ce genre de facéties, j’ai fait une liste des endroits qui me plaisent :
- le jardin d’un immeuble rive droite où je suis allée il y a deux ans, avec lampions de couleurs suspendus aux arbres, des vieux canapés branlants aux coussins défoncés, et des enfants partout. Le type qui nous avait invité est à présent lui aussi père de famille, et à déménager dans la foulée (je crois que c’était une fête pour son déménagement).
- La maison et le jardin d’un pote à moi : comme je le vois quasiment plus, je ne me vois pas lui demander ça.
- La plage : c’est chouette, mais c’est loin, ça nécessite une organisation importante côté transports et en empêche une bonne partie de boire, sans compter ceux qui vont avoir froid. Et si il pleut ?
Sinon j’avais pensé :
Le pique-nique sur les quais à Bordeaux : avantage : c’est central, tout le monde peut y accéder. S’il pleut, on peut toujours se rabattre sur un bar en ville. Inconvénient : trop gens, et puis plus tard dans la soirée, trop de gens bourrés.
Le pique nique avorté d’il y a deux ans pour cause de pluie: oui mais si il pleut ?
Au final : on va faire comme l’année dernière et puis c’est tout. Et c’est déjà très bien.
2 juillet 2010 - 2:04
Il est temps, je crois, de consacrer un post ou deux à un problème que se posent ou se sont récemment posé ceux d’entre nous qui sont nés en 1980.
La question des trente ans. Ou plus précisément, la question de l’anniversaire des trente ans
Histoire de ne pas ré-inventer l’eau chaude, commençons par une brève analyse de quelques cas. ON trouvera peut-être quelques idées à en tirer.
C’est Titiou Lecoq qui a engagé les hostilités fin janvier, suivie de très près par ma meilleure amie du lycée. A ma gauche nous avons une soirée entre amis et le cadeau de type “nouvelles technologies”, à ma droite une soirée « réunion de tous les amis », avec ma pomme dans le rôle de la plus vieille amie (mais qui ne connaît personne d’autre). A noter que ce genre de soirée nécessite un espace de type salon parental. Le cadeau principal consista en une machine à café comme on en fait maintenant (merci de noter que je ne souhaite de nespresso pour mes trente ans) (ni d’appareil ménager d’aucune sorte d’une manière générale).
Si le mois de février fut plutôt calme, mars vit fleurir, notamment sur twitter, une vague d’anniversaire en 140 caractères, à base, pour certains, de terrasses de café (j’aime assez la simplicité) et pour d’autre d’overdose de boulot (ce qui ne sera pas le cas en ce qui me concerne.)
Avril fut marqué par le premier échec de soirée d’anniversaire de Dirk, plus connue sous le doux nom de « double gastro en couple » (une expérience qui a renforcé notre intimité). Je passe sur le mois de mai qui a vu un cas d’anniversaire à l’hôpital (rien de grave en fait) puis la deuxième tentative d’anniversaire de Dirk, qui fut un demi succès puisque le hérosde la soirée était cloué de sur le canapé du salon pour cause de maladie pas très bien répertoriée, mais soirée tout de même. Avec à la clé, une cotisation des amis, qui nécessite de nouveau une organisation pour l’achat du cadeau (un synthétiseur, on observe une récurrence du cadeau de type électronique / nouvelles technologies).
En juin, on note une accélération dans le calendrier, les premières soirées d’anniversaire pique nique sur les quais, et ceux où il faut répondre à un doodle pour permettre de fixer une date (un peu comme quand on cale une réunion au boulot). D’autres, plus prévoyant et plus 2.0, lance carrément leurs invitations via twitter et crée un compte dédié à l’événement.
A partir de là, c’est à moi de monter sur la piste.